Suivi en distanciel.
L'élève poursuit le projet à distance, envoie sur le Netboard une photo montrant l'avancée de son travail et une explication écrite. L'enseignante répond à la suite, au post de l'élève.
Voici ma chaussure terminée. J'ai rajouté les oreilles. Je les ai cousues avec du fil et une aiguille. J'ai placé mon "chien" dans son jardin.
Bonjour Eléa, c'est très bien au sur le plan de la transformation, du détournement de l'objet. Quel élément final permet de reconnaître que tu es partie d'une chaussure?
De plus quand tu dis "j'ai placé mon chien dans son jardin", que veux-tu dire exactement? L'as-tu mis dans ton (vrai) jardin? Quel rôle a ton jardin au regard de ton projet?
Mme MUNOZ.
On peut reconnaître que je suis partie d'une chaussure grâce à la forme générale du chien. De plus, sous la langue, on voit apparaître la semelle de la chaussure. Mon chien n'a pas été dans MON jardin mais dans SON jardin représenté par le décor dans lequel il se trouve (jardin clôturé avec des barrières blanches). Le jardin représente l'endroit où il passe ses journées...
Projet finalisé, photographié par l'élève. Post sur le Netboard avec explication écrite de l'élève.
Voici ma "chaussure-bonbonnière". J'ai recouvert ma chaussure de papier. Je l'ai ensuite peinte en blanc. J'ai percé son extémité afin de créer une ouverture pour faire sortir plein de bonbons que j'ai réalisé en pâte auto-durcissante en classe. J'ai présenté ma chaussure sur un socle comme si elle se trouvait dans une vitrine chez un pâtissier.
Projet finalisé, photographié par l'élève. Post sur le Netboard avec explication écrite de l'élève.
bonjour,
Pour faire les grandes plumes jai commencé a fabriquer un support vert .Dans ce support vert j'ai mis des piques pour brochette que j'ai couper.Puis après, sur le socle vert j'ai commencé a coller les grandes plumes de poan.J'ai attendu que cela sèche, puis je l'ai fixé.
Après j'ai enduit de colle ma chaussure.J'ai commencé à fixé ldes plumes sur tout le corps de poan. J'ai coller des plumes, bleu,verte,grise,jaune et blanche. Ensuite j'ai pris des yeux que j'ai coller sur la tête. Pour faire le bec j'ai pris un morceau de rouleau de papier toilette que j'ai couper pour que cela forme un bec.
Donc voilà ma chaussure terminé.
Projet finalisé, photographié par l'élève.
Post sur le Netboard avec explication écrite de l'élève.
Introduction à la séance inversée de Culture Artistique réalisée avec l'outil Netboard et Vocarro.
"Bonjour à tous ! Pour l'introduction à cette séance de culture artistique, je te laisse la possibilité de lire le texte ci-dessous ou alors de m'écouter te le raconter"
(pour écouter clique sur ce lien : https://voca.ro/1iQZJJhlGsvO ).
L’objet dans tous ses états : l’art du détournement.
Les objets emplissent notre quotidien, on les trouve en grand nombre tout autour de nous, et ils nous accompagnent dans notre vie de tous les jours. Tout au long du XXème siècle jusqu’à nos jours, les artistes ont exploité l’objet pour sa forme et sa fonction, au travers de nombreuses œuvres. En 1917, Marcel DUCHAMP révolutionne l’idée d’objet d’art en faisant pénétrer dans un musée un objet fabriqué par l’industrie. Et qu’il souhaite exposer comme une œuvre d’art.
Il s’agit d’un urinoir, qu’il nomme « ready-made », ce qui se traduit par « objet tout fait ». Le monde de l’art est bouleversé : c’est l’entrée colossale de l’objet manufacturé dans les oeuvres d’art. La frontière entre l’objet usuel et l’objet d’art s’amincit, jusqu’à s’effacer totalement, avec le ready-made. On dit que Marcel DUCHAMP a détourné un urinoir. En effet, pour un artiste, détourner un objet ou une image, c’est l’exploiter pour le transformer, le modifier pour « changer sa direction », sa fonction,
lui donner un autre sens…
Depuis le siècle dernier, dans le monde de l’art, l’objet est devenu le sujet de détournements les plus fantaisistes et spectaculaires.
Dispositif de tournage BYOD afin de garder trace des présentations orales des élèves.
1 minute de présentation est impartie à chaque élève.
Les élèves ont mis leurs idées à l'écrit en classe, se sont entrainés en se chronométrant chez eux et/ou en classe.
Une mission scénarisée au moyen d'un avatar animé (créé par l'enseignante) est proposé aux élèves : il se nomme Sherlock Arty. Cet avatar a déjà été utilisé sur le niveau 6ème lors d'une autre proposition de séquence.
La mission proposée aux élèves consiste à présenter sa réalisation à un commissaire d'exposition d'un grand espace muséal et d'apporter des arguments expliquant en quoi cette réalisation aurait sa place dans un musée.
La préparation de la présentation orale et les tournages vidéos se feront en classe. Voici les questions qui guideront ta présentation :
- En quoi as-tu transformé ta chaussure ?
- Quelles opérations plastiques as-tu réalisé pour modifier ta chaussure (cite en deux ou trois précisément)
- Ta chaussure est-elle encore un objet fonctionnel ?
- Qu'est-ce qui lui permettrait d'avoir sa place dans un musée ?
" Dans la peau d'un artiste !"
Présentation du projet final d'une élève. Présentation répondant à la mission de l'avatar Sherlock Arty : présenter sa réalisation au commissaire d'exposition d'un grand espace muséal et apporter des arguments expliquant en quoi cette réalisation aurait sa place dans un musée. Chaque élève a présenté en une minute maximum son explication argumentée, devant une caméra.
Suivi en distanciel.
L'élève poursuit le projet à distance, envoie sur le Netboard une photo montrant l'avancée de son travail et une explication écrite.
Après avoir peint ma chaussure en blanc je l'ai recouverte d'une deuxième couche.Elle se compose de vert et de bleu. J'ai peint une partie de ma chaussure en bleu car cela est pour composé la tête de mon poan et la deuxième partie, que j'ai peinte en vert est fait pour recouvrir le corps de mon poan. La partie plate de ma chaussure est peinte en vert car, dessus sera disposé des plumes de poan qui viendrot abiller ma chaussure pour que cela commence à formé mon poan.